Les grâces de la rose

Les fleurs : un jardin merveilleux pour l’alimentation

Les fleurs comestibles, famille à laquelle appartient la rose de France, sont des matières premières prometteuses pour notre assiette. Leurs ingrédients actifs – polyphénols, antioxydants, caroténoïdes, glucides naturels, etc. – contribuent à lutter contre le stress oxydatif, responsable du vieillissement de notre corps et de la dégénérescence de notre peau.

Source Laurence Massip – Solutions Nutrition

La rose de France : un super ingrédient de la nutri-cosmétique

Le velouté d’un pétale de rose de Damas, au rose vif et parfumé, génère autant d’émotions qu’il recèle de bienfaits pour la peau. Ses huiles essentielles et eaux florales* constituent des composants de choix dans une nutri-cosmétique naturellement exigeante. Utilisés dans l’alimentation et la médecine traditionnelle, les actifs de cette fleur d’exception – polyphénols, antioxydants, caroténoïdes, glucides naturels, etc. – dégagent une aromatique délicatement fleurie, en plus de contribuer à lutter contre le vieillissement de notre corps.

La rose de Damas : une richesse d’actifs précieux pour la beauté

Ses précieuses molécules (citronellol, géraniol, nérol…) ont des propriétés pharmacologiques, reconnues depuis le XVIIème siècle. Grâce à ses actifs antioxydants, anti-inflammatoires, régénérants et réparateurs, la rose de Damas prévient les signes de vieillissement cutané. Protégeant les peaux ternes et fatiguées, elle sublime l’éclat et la luminosité du teint. Apaisante, elle est l’alliée des peaux sensibles et à rougeurs.

Source : European medecines Agency

La rose : une expérience olfactive et émotionnelle

Grâce à ses arômes fleuris et typiques, le pouvoir du parfum de la rose de Damas est puissant sur les émotions. Il apaise les tensions, favorise la relaxation et l’endormissement. L’olfaction permet de changer de fréquence pour améliorer son bien-être et son équilibre.

Source : Guide d’olfactothérapie – le pouvoir des parfums sur nos émotions (santé/bien-être) avec une préface de Jean-Charles Sommerard.